Rentrée d’hiver 2017

Prix Simenon (prix littéraire de la ville des Sables d’Olonne)

janvier 2016

alatrace

janvier 2014

feuavecbandeau

 

Couverture de Mort et vie de Lili Riviera Babel

 

« A la trace » sur le blog de la librairie Charybde

(…) Là où Emmanuel Ruben rendait compte de la complexité d’un territoire à partir de sa géographie, et de ses frontières multiples et indécidables dans «Jérusalem terrestre», également pour accompagner une fiction en cours d’écriture, Carole Zalberg aborde le rapport à Israël aux multiples facettes, douloureux et joyeux, par son versant intime, dans un livre d’une grande densité, l’air de rien.(…)

Lire la chronique là.

« A la trace », par Emmanuelle Caminade

(…)  Carole Zalberg ne s’attache en effet qu’à saisir en toute sincérité des sortes d’instantanés des personnes rencontrées : des instantanés mêlant la peur et la fierté, la joie et la tristesse, la confiance et le désarroi, la colère…, et traduisant tant le non-dit des gestes et des regards que des conversations le plus souvent réduites aux «pauvres mots communs» de l’anglais – puisqu’elle ne parle pas l’hébreu. S’y ajoutent la variété des atmosphères selon les lieux, la beauté des paysages, et toutes les impressions et les émotions, les ressentis d’une auteure qui, sans jamais juger, se contente d’ébaucher des questions et des réflexions ne demandant qu’à cheminer et à mûrir.(…)

 lire la chronique complète sur L’or des livres

 

Renaissance des chansons

Dans une première vie, avant de publier des livres, j’ai été parolière et j’ai adoré cela, la brièveté des textes, l’intensité de la rencontre entre deux univers, leur fusion, et les moments de partage avec le public. Ma plus belle aventure musicale d’alors, la plus marquante, celle où la connivence était la plus forte, je la dois à Christophe Berthier, dont les compositions et la voix étaient à la fois terreau et chemin pour mes mots. Près de deux décennies plus tard, nos chansons m’apparaissent comme une première forme de mes romans à venir. D’où l’envie de les remettre au monde.
Voici la toute première.

Dans Le Berry.fr

Quand Marlène Lestang m’a appelée lundi matin, comme prévu bien avant le week-end, j’avais totalement oublié notre rendez-vous téléphonique. J’ai commencé l’entretien noyée. Il a finalement été l’occasion de dire encore la nécessité de s’unir. Et de saluer la démarche généreuse de Nadège Mulé, la libraire qui nous recevra samedi, Cécile Coulon, Nancy Huston et moi…

Interview à lire là.