« Je dansais » sur La Cause littéraire

« (…) En fermant le livre Je dansais, le lecteur est saisi par la virulence de la dénonciation de l’attitude d’hommes qui s’autorisent à utiliser la femme comme un simple accessoire d’assouvissement de leurs pulsions, ou de leur besoin d’asservir par simple passion pour le profit. Faut-il écrire l’horreur pour mieux la dénoncer ? La vision très sombre et très noire du monde que nous dévoile ce roman, nous contraindrait-elle à nous résigner à la défaite de l’humain ? Rien n’est moins sûr car en filigrane, l’auteur nous ouvre des pistes fragiles vers une liberté possible.(…) »

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« Feu pour feu », la pièce, sur le blog La grande parade

« (…) Le texte de Carole Zalberg se singularise par ce système d’écho, quasi polyphonique, qu’elle instaure, impose, grâce à la mise en scène de l’italien Gerardo Maffei, L’auteure a choisi de ne pas donner la priorité à une seule voix, celle du père/mère, mais bien à deux voix, faisant se répondre le discours paternel à celui de sa fille enragée. Si tout est vraisemblable depuis la survie au massacre, jusqu’à l’incendie involontaire de l’immeuble, en passant par le passage dans des centres pour migrants, rien ne permet d’indiquer précisément les lieux de l’action. Feu pour feu tend ainsi vers l’universalité, comme le suggèrent les images vidéos diffusées en fond… d’écran. Il s’agit bien d’un « mauvais » film, ou plutôt d’un film d’horreurs, que l’Humanité nous impose depuis des lustres. Et dont pourtant surgit encore et toujours une note d’espoir, un cri de révolte, un appel à la résistance, plus qu’à la résilience.(…)

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