A propos d' »Ecrire l’Apocalypse » sur le blog Charybde2

(…) Carole Zalberg enfin, conclut ce recueil d’une richesse étonnante, issu d’une expérience littéraire particulièrement intelligente, avec une « Apocalypse en dix chants », superbement orchestrée, dont l’intensité condense sans doute encore celle observable dans son si beau « Feu pour feu », que plusieurs des dix moments évoquent d’ailleurs, sans hasard, fort directement.(…)

Note de lecture : « Écrire l’Apocalypse » (Collectif)

« Je dansais » Prix littéraire des Sables d’Olonne

Le Prix Simenon (prix littéraire de la ville des Sables d’Olonne) récompense chaque année au mois de juin pendant le festival Simenon, un ouvrage écrit par un auteur vivant de langue française dont l’esprit et le style rappellent ceux de Simenon – « style précis, dense, concis, puissance et force d’évocation, sobriété descriptive ».
Parmi les précédents lauréats, Sorj Chalandon, Brigitte Giraud…

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« Je dansais » sur La Cause littéraire

« (…) En fermant le livre Je dansais, le lecteur est saisi par la virulence de la dénonciation de l’attitude d’hommes qui s’autorisent à utiliser la femme comme un simple accessoire d’assouvissement de leurs pulsions, ou de leur besoin d’asservir par simple passion pour le profit. Faut-il écrire l’horreur pour mieux la dénoncer ? La vision très sombre et très noire du monde que nous dévoile ce roman, nous contraindrait-elle à nous résigner à la défaite de l’humain ? Rien n’est moins sûr car en filigrane, l’auteur nous ouvre des pistes fragiles vers une liberté possible.(…) »

Lire la chronique complète de Pierrette Epsztein là.

« Feu pour feu », la pièce, sur le blog La grande parade

« (…) Le texte de Carole Zalberg se singularise par ce système d’écho, quasi polyphonique, qu’elle instaure, impose, grâce à la mise en scène de l’italien Gerardo Maffei, L’auteure a choisi de ne pas donner la priorité à une seule voix, celle du père/mère, mais bien à deux voix, faisant se répondre le discours paternel à celui de sa fille enragée. Si tout est vraisemblable depuis la survie au massacre, jusqu’à l’incendie involontaire de l’immeuble, en passant par le passage dans des centres pour migrants, rien ne permet d’indiquer précisément les lieux de l’action. Feu pour feu tend ainsi vers l’universalité, comme le suggèrent les images vidéos diffusées en fond… d’écran. Il s’agit bien d’un « mauvais » film, ou plutôt d’un film d’horreurs, que l’Humanité nous impose depuis des lustres. Et dont pourtant surgit encore et toujours une note d’espoir, un cri de révolte, un appel à la résistance, plus qu’à la résilience.(…)

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