« Je dansais » sur La Cause littéraire

« (…) En fermant le livre Je dansais, le lecteur est saisi par la virulence de la dénonciation de l’attitude d’hommes qui s’autorisent à utiliser la femme comme un simple accessoire d’assouvissement de leurs pulsions, ou de leur besoin d’asservir par simple passion pour le profit. Faut-il écrire l’horreur pour mieux la dénoncer ? La vision très sombre et très noire du monde que nous dévoile ce roman, nous contraindrait-elle à nous résigner à la défaite de l’humain ? Rien n’est moins sûr car en filigrane, l’auteur nous ouvre des pistes fragiles vers une liberté possible.(…) »

Lire la chronique complète de Pierrette Epsztein là.

Entretien autour de « Je dansais » sur Le quotidien Julia

« (…)En tant qu’écrivain, je ne fais que cela, creuser, chercher sous la surface, démonter les mécanismes, les enchaînements, les déraillements. Il est évident, je crois, que je ne cautionne rien des actes d’Édouard. Tout le roman met au jour cette violence qui, si souvent, infuse le désir des hommes. Mais il ne m’appartient pas de décider si l’on doit pardonner ou non et à qui. C’est une chose intime, le pardon.(…) »

Carole Zalberg : «C’est une chose intime, le pardon»

« Je dansais » sur ActuaLitté

« (…) Une économie de mots, une émotion ardente arriment solidement le lecteur au texte, sans possibilité de détour ou de détachement. Aussi, peu importe l’âpreté et la noirceur de l’histoire, il les éprouve, pénétré par l’écriture poétique, possédé par le rythme alterné des voix, transpercé par les cris de désespoir, les tourments intérieurs, la folie de l’enfermement.(…) »

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