« (…)En tant qu’écrivain, je ne fais que cela, creuser, chercher sous la surface, démonter les mécanismes, les enchaînements, les déraillements. Il est évident, je crois, que je ne cautionne rien des actes d’Édouard. Tout le roman met au jour cette violence qui, si souvent, infuse le désir des hommes. Mais il ne m’appartient pas de décider si l’on doit pardonner ou non et à qui. C’est une chose intime, le pardon.(…) »