« A la trace », par Emmanuelle Caminade

(…)  Carole Zalberg ne s’attache en effet qu’à saisir en toute sincérité des sortes d’instantanés des personnes rencontrées : des instantanés mêlant la peur et la fierté, la joie et la tristesse, la confiance et le désarroi, la colère…, et traduisant tant le non-dit des gestes et des regards que des conversations le plus souvent réduites aux «pauvres mots communs» de l’anglais – puisqu’elle ne parle pas l’hébreu. S’y ajoutent la variété des atmosphères selon les lieux, la beauté des paysages, et toutes les impressions et les émotions, les ressentis d’une auteure qui, sans jamais juger, se contente d’ébaucher des questions et des réflexions ne demandant qu’à cheminer et à mûrir.(…)

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