« Je dansais » sur la route de Jostein

« (…) Une fois de plus, Carole Zalberg signe un roman puissant et poétique sur des thèmes forts qui lui sont chers. Fille d’une enfant caché, son œuvre est marquée par la résilience. Ses romans sont souvent l’occasion de montrer le poids de la transmission filiale, de porter la féminité, de disséquer la part d’humanité ou de monstruosité enfermée en chacun de nous et de donner une voix aux exilés et aux femmes.
Mon avis peut être partial parce que je suis, à chaque fois, subjuguée par la langue magnifique de cette auteure qui, en quelques pages, me bouleverse par ses mots et ses messages. »

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Je dansais – Carole Zalberg

« Je dansais » sur Lecteurs.com

« (…) J’avais beaucoup entendu parler de Carole Zalberg mais jusqu’à présent je n’avais encore jamais eu l’occasion de la lire. J’ai découvert la profondeur de sa réflexion et la qualité de son écriture grâce à ce terrible et magnifique roman et je la classe désormais dans mes indispensables ! (…)

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« Je dansais » sur le blog Les lectures d’Antigone

« Tu ne savais pas qui dansait dans ce livre quand tu as répondu oui… à Carole Zalberg. Mais tu avais lu A défaut d’Amérique, alors tu savais donc déjà (par contre) que tu aimerais l’écriture… Tu ne savais pas non plus que l’on pouvait écrire de nouveau sur l’enfermement, et aussi bien, après le bouleversant et prodigieux Room… mais si.(…) »

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« Je dansais » sur le blog L’or des livres

(…) Le sujet ne pouvait que toucher cette auteure sensible à l’enfermement (au sens large) et aux enfances abîmées qui s’est toujours intéressée aux femmes et à l’ambivalence de ce désir parfois mortifère qui fonde pourtant le vivant, ainsi qu’aux effets destructeurs ou salvateurs du regard de l’autre sur l’image de soi. Une auteure semblant hantée par cette sorte de fatalité qui s’acharne sur les femmes mais aussi fascinée par cette capacité à «tenir» au cœur de l’horreur, à s’accrocher à la moindre bribe d’espoir, si infime soit-elle. Au feu de la vie.(…)

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« Je dansais » sur le blog Litteratum amor

« Le lecteur entre véritablement dans les livres de Carole Zalberg, ce n’est pas une métaphore.
Depuis « Feu pour feu », je trouve dans cette lecture une qualité d’épure qui me bouleverse mais immergée dans une musique hypnotique, c’est à dire circulaire.
Trois voix, celle de la petite fille enlevée, celle du ravisseur et celle des parents.(…)

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