« Le lecteur entre véritablement dans les livres de Carole Zalberg, ce n’est pas une métaphore.
Depuis « Feu pour feu », je trouve dans cette lecture une qualité d’épure qui me bouleverse mais immergée dans une musique hypnotique, c’est à dire circulaire.
Trois voix, celle de la petite fille enlevée, celle du ravisseur et celle des parents.(…)