A propos de "L'invention du désir"

Sur l’excellent blog Paris-ci la Culture et sur le non moins excellent Boojum

« « Ce sont elles qui ont décidé. Nos mains ». Voici l’incipit de L’invention du désir, de Carole Zalberg, qui sort aux Editions du Chemin de fer, illustré par Frédéric Poincelet. Au début, un homme et une femme sont dans un taxi. On ne sait pas bien s’ils ne se connaissaient pas du tout, ou s’ils s’étaient déjà rencontrés avant. Peu à peu, on découvre que ça n’a aucune espèce d’importance au regard de leur attrait mutuel, car la puissance des sentiments évoqués est telle qu’on se sent happé par les phrases, par l’histoire qu’elles véhiculent. Sous nos yeux avides d’en apprendre davantage chacun convoite l’espace vital de l’autre, corps y compris, dans un élan de désir, un élan de confrontation des corps. Chacun souhaite rencontrer l’autre au plus près, fusionner les peaux et les regards. « 

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