« Feu pour feu » sur le blog « sur la route de Jostein »

(…) L’auteur souffle le chaud et le froid en alternant la confession du père dans une belle langue poétique d’où émane tant d’amour et de désespoir et le récit d’Adama en langage de la cité. Et quelque soit la langue, elle parvient à capter mon intérêt et à me faire éprouver de la compassion.

C’est un très beau texte à ne pas manquer sur la difficulté de l’exil et de l’intégration.(…)

Lire la chronique complète là.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *