(…) L’auteur souffle le chaud et le froid en alternant la confession du père dans une belle langue poétique d’où émane tant d’amour et de désespoir et le récit d’Adama en langage de la cité. Et quelque soit la langue, elle parvient à capter mon intérêt et à me faire éprouver de la compassion.
C’est un très beau texte à ne pas manquer sur la difficulté de l’exil et de l’intégration.(…)
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