« Je dansais » par Karine Papillaud

« (…) Impossible de faire l’impasse sur l’écriture de Carole Zalberg, la clarté troublante de sa ligne de narration, la fluidité et l’emploi toujours net et juste du moindre mot, sans impudeur ni larmes. Je dansais fait du lecteur un funambule au pas sûr et léger dans un texte qui évite une multitude d’écueils et de facilités. On tremble de voir le texte s’échouer sur tel ou tel écueil prévisible dans ce genre d’histoire difficile. Et puis non, la grâce de l’écriture de Carole Zalberg, mûre, sûre, aboutie, fait magie d’une lie. La langue est la force et la clef de ce roman dur et magnifique. La langue d’un écrivain, ce bien qui nous est commun et qui nous emmène également dans ce qui nous dépasse et transcende l’état d’humanité. Carole Zalberg en tient la promesse, dans sa singulière élégance. »

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« Je dansais » sur Agathe The Book

(…) La prouesse de l’auteur est selon moi, d’avoir réussi à glisser de la poésie dans ce récit si dur. Et cette interrogation, qui n’en finit pas de nous hanter:

« Quelle divinité mettons-nous ainsi en colère pour qu’elle s’acharne ainsi? De quel rouage sommes nous le grain de sable? Quelle faute nous fait-on payer depuis la nuit des temps? » (…)

 

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Je dansais

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« Je dansais » dans « Le quotidien Julia »

« (…) J’avoue aussi avoir un petit faible pour les œuvres de Carole Zalberg. Cette excellente auteure a quelque chose de vrai, de précis, quand je lis ce qu’elle écrit, qui me pousse toujours vers ses livres, je ne sais pas l’expliquer, c’est comme ça !(…) »

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Je dansais, le nouveau Carole Zalberg.