Ecouter l’émission d’Elise Fischer :

Dans l’émission « Quartier livres »

« 72 pages qui vous prennent à la gorge tellement elles sont fortes. Formulées magistralement (…). Toute la douleur du monde mais aussi toute la bonté du monde dans ce livre (…). »

Ecouter la chronique de Geneviève Bridel là. (à 3:50)

Dans Le Nouvel Obs, le 13 février 2014.

(…) L’intensité dramatique de ce texte est renforcée par sa concision (72 pages) et son écriture ciselée d’une extrême justesse.
Une claque !

Céline Huet

Lire la chronique complète là.

(…) C’est un livre à la voix magistrale, d’une grande humanité, qui répare, console et nous emporte avec les trames vécues de ces exilés, au plus près de leurs corps, de leurs rages, de leurs trivialités, de leurs foudres, de leurs idéaux, de leurs espoirs, et de leurs chairs. A vif.

Laurence Biava

Lire la chronique complète là.

« (…) C’est bouleversant de justesse et d’humanité triste.Désespéré, poignant. Et beau à en pleurer. »

Xavier Houssin

Dans Le Maine Libre, Le Courrier de l’Ouest et Presse Océan du 07/02/14.

« (…) Les phrases, sans ponctuation, haletantes, pleines d’images et de couleurs, créent l’émotion et le sens au-delà de toute psychologie des personnages et de tout pathos.

La langue d’une concision et d’une intensité fascinante, toujours sur le fil du rasoir, souffle le chaud et le froid pour dire la vie et l’humanité, dans sa violence et ses espoirs.
Une tragédie double qui interroge le destin et met en scène l’exil et la condition d’étranger.

Un court roman, rare, incandescent, profond, inoubliable, à lire de toute urgence. »

Lire la chronique complète de Dominique Baillon-Lalande là.

« (…) Ainsi, Zalberg trimbale ses deux poignants personnages d’un feu (…) à l’autre (…), liant à travers leur parcours la grande Histoire à la petite, les soubresauts de la géopolitique au pathétique du fait divers, dans une criante absence de sens. »

François Perrin