(…) Pour dire cette passion socialement interdite et ici paisiblement assumée, sans s’attarder justement sur la toile qui enserre les amants, où guettent culpabilité et vaudeville, elle trouve une écriture d’une rare justesse, d’une poésie à la fois très physique et très légère, d’une beauté diaphane terriblement présente et vive, oscillant subrepticement entre réalité et rêve (…)