« L’illégitime » sur le blog « Paris-ci la culture »

(…) C’est aussi une preuve supplémentaire du talent de Carole Zalberg. Il est acquis qu’elle est avec les mots comme un poisson dans son élément, qu’elle manie les émotions et la tension d’un texte avec une grande dextérité, que son écriture peut être à la fois solaire (la Trilogie des Tombeaux) et ténébreuse (Mort et Vie de Lili Riviera). On savait qu’elle pouvait être sensuelle  et libre (L’invention du désir). L’illégitime semble crier que Carole Zalberg peut tout écrire, sous toutes les formes, sur tous les continents, et même, rendre universelle une histoire largement autobiographique, marquer du sceau romanesque ce qui peut être qualifié de fondateur, là où d’autres s’escriment à vouloir rendre le fondateur romanesque.(…)

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