« Feu pour feu » sur le blog de Jean-Claude Bologne

(…) Ce court roman aux images fortes (la mutilation des empreintes digitales pour forcer les doigts au silence), aux formules percutantes (« Je suis l’unique lieu où tu peux être ») est d’une douloureuse humanité, car il n’entend pas opposer deux générations (l’adolescente ingrate et le père sacrifié), ni deux populations (les racistes, après tout, pensent aussi à la survie de leur lignée), mais comprendre, avec une solennité et une rage de tragédie antique, comment les destins se sont brisés.

Jean-Claude Bologne, écrivain et président de la Société des Gens de Lettres.

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