(…) « Carole Zalberg réussit un condensé radical d’énonciation. Pas un mot de trop, pas un mot manquant. Cet exercice est fascinant et rompt avec les canons trop établis d’un calibrage romanesque incluant comme un chemin obligé les délayages, dialogues, digressions. Ici, nous sommes dans la nécessité, le minimalisme et l’effet en est la force. On pense ici et là à « The road » de Cormac McCarthy – car on retrouve et l’homme et l’enfant et le dépouillement et l’économie d’écriture.
Quintessence de roman, de noirceur, de fatalité ; ode à l’humanité, sa violence, sa laideur, sa souffrance, ses espoirs. Ce petit livre est tout cela et plus encore, un moment de littérature. »
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