A propos d’A défaut d’Amérique dans « Hommes et migrations »

(…) Ce roman, d’une portée universelle, nous montre à quel point nous sommes façonnés par ce que nos aïeux ont vécu. Ni Fleur ni Suzan n’auraient pu se libérer du passé sans reconstituer, avec des mots, l’histoire de leurs disparus. Une manière de leur fabriquer la sépulture qu’ils n’ont jamais eue… “J’imagine que je me suis acquittée d’une dette, confie Carole Zalberg. J’ai eu le sentiment d’ériger des petits monuments de mots afin que ces femmes disparues puissent, au bout du compte, reposer ensemble…” En quelque 200 pages portées par le style de Carole Zalberg, les fantômes sont apaisés, les nœuds dénoués.(…)

Article complet de Monique Ayoun à lire là.

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