A propos de Luc Lang

(…) Qui a lu Lang depuis ses débuts considérera ce dernier roman comme un sommet. D’où appréhender l’œuvre entière. La mère y est enfin exposée sans esquive, avec méthode, sous toutes ses facettes et Dieu sait qu’elle en possède. L’auteur a affûté sa langue, aiguisé son regard, en bon Indien, a bandé son arc. Ainsi armé, concentré à l’extrême et porté par son irréductible amour, il peut non pas dénoncer mais peindre, donner à voir celle qui, jusqu’à son dernier souffle, l’a ébloui, tenu captif, donc, de son indéniable mais non moins aveuglante lumière.(…)

Article complet à lire dans la Revue des Ressources.

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