(…) La prouesse de l’auteur est selon moi, d’avoir réussi à glisser de la poésie dans ce récit si dur. Et cette interrogation, qui n’en finit pas de nous hanter:
« Quelle divinité mettons-nous ainsi en colère pour qu’elle s’acharne ainsi? De quel rouage sommes nous le grain de sable? Quelle faute nous fait-on payer depuis la nuit des temps? » (…)
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