A propos de « A défaut d’Amérique » sur le blog « Les facéties de Lucie »

(…) Les paroles, les mots sont le véhicule de tant de transmissions inconscientes. Les mots sont matières premières dans ce roman, c’est quasi culinaire : on les déroule comme une pate brisée prête à l’emploi, on les touille, on les dissèque pour leur ôter toute charge émotionnelle, on s’en nourrit et on en abreuve les siens, on en échange des brassées, on les jette entre un homme et soi comme un pont, on les envoie outre tombe pour parler aux absents, on les utilise pour tailler en pièces ou désamorçer bombe humaine.(…)

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