« A défaut d’Amérique » sur le blog Sans connivence

(…)Et là, la formidable écriture  de l’auteur nous emporte au coeur de deux histoires émouvantes et poignantes, rendant le récit sensible et terriblement humain. Suzan, personnage pas vraiment sympathique nous émeut par sa soif de comprendre la personne aigrie qu’elle est devenue. Les grands événements du siècle derniers sont évoqués au travers des personnages de la vie d’Adèle et là aussi, c’est du grand art. Par touches infimes mais pertinentes, l’auteur nous fait sentir les doutes, les interrogations, les silences d’effroi que ressentent, sans pouvoir toujours l’exprimer, des gens simples face aux tourments de la vie et de l’Histoire.
Vous l’aurez compris, ce livre est hautement recommandable et est aussi beau dehors que dedans. C’est assez rare pour le signaler.(…)

L’article complet là.

 

 

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