(…) Carole Zalberg a beaucoup écrit sur les femmes et notamment sur les mères. Et son intérêt pour les femmes ne semble pas dans ce roman – où les hommes ne sont pas absents mais plutôt pâles et faibles – se limiter à une simple solidarité catégorielle ni illustrer un quelconque déterminisme biologique.
L’auteure s’éloigne en effet des clichés dont nos sociétés modernes sont encore largement porteuses. Elle nous présente une grande variété de femmes dont les différences individuelles priment, différences dues à leur caractère et aux épreuves traversées, aux époques et aux lieux , aux milieux dont elles sont issues plus qu’à leur condition féminine ou même aux liens du sang.(…)
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