A défaut d’Amérique « mandorisé »

« Je n’avais jamais lu un livre de Carole Zalberg avant « A défaut d’Amérique ». Pour différentes raisons personnelles, j’ai été happé par ce roman… et du coup, je me suis promis de faire le maximum pour le faire connaître au plus grand nombre. Elle n’a pas forcément besoin de mon aide, mais bon… un + un + un = une visibilité conséquente. Ainsi, j’ai écrit un article dans un de mes journaux et je l’ai rencontré le 10 janvier dernier pour une interview destinée à un autre… »

François Alquier

Entretien à lire là.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *