C’est qu’à l’instar de Diderot, le chef de chantier nulle part chez lui que dans la pensée de l’ouvrage à accomplir, Kérangal se place « à la culotte des choses », ne lâche pas un instant sa garde rapprochée. Comme Diderot, c’est là qu’elle se déploie. C’est de là qu’elle déroule portrait après portrait, s’arrêtant à un moment donné d’un espace ou d’un personnage et puis tirant, tirant, dévidant la bobine compliquée des vies et des endroits d’un monde unifié par les cohortes en mal d’emploi.
Étiquette : Carole Zalberg
A propos de "J'aime pas dire bonjour" sur le site "Les chroniques de Madoka"
(…) Un petit livre irrésistible et drôle (…) Lire l’article là.
Compte-rendu de la soirée du 13 janvier 2011
Mais surtout, il me semble que ces trois textes tiennent droit et sont puissants parce que ce que vous allez chercher tous les trois, c’est ce qui, en l’homme, est irréductible. D’accord, vous mettez les mains dans le cambouis, mais c’est pour en rapporter une chose essentielle, une sorte de noyau : cette part de l’homme qui résiste.
Stéphanie Hochet à propos de "L'invention du désir"
Article paru dans Le Jeudi du 23 décembre 2010
Pierrette Fleutiaux à propos de "l'Invention du désir"
(…) La première phrase ici est capitale : « ce sont elles qui ont décidé, nos mains. »
Il me semble que Carole Zalberg arrive à se tenir au plus près de ces mains, à donner langage à ces mains.
(…) Quant à l’écriture, l’invention du désir est ici – magistralement – l’invention des mots du désir.
A propos de "Où j’ai laissé mon âme", de Jérôme Ferrari
La fin et les moyens* Jérôme Ferrari est un mineur de fond. Livre après livre il descend vers l’obscur, éclaire, paré de sa langue lumineuse et de sa compassion, les zones reculées où se cache le cœur de l’homme. On l’imagine écrire sous la dictée d’une fièvre, celle de creuser et creuser encore à la… Poursuivre la lecture A propos de "Où j’ai laissé mon âme", de Jérôme Ferrari
A propos de "L'invention du désir"
Sur l’excellent blog Paris-ci la Culture et sur le non moins excellent Boojum “« Ce sont elles qui ont décidé. Nos mains ». Voici l’incipit de L’invention du désir, de Carole Zalberg, qui sort aux Editions du Chemin de fer, illustré par Frédéric Poincelet. Au début, un homme et une femme sont dans un taxi.… Poursuivre la lecture A propos de "L'invention du désir"
Au Field de la Nuit
L’émission du 10 mars à voir là. Parmi les autres invités : François Bégaudeau (que je recevrai le 11 juin à la Terrasse de Gutenberg), Philippe Torreton, Gilles Jacob… 2e partie. Carole passe à partir de 10’24 http://www.wat.tv/video/field-nuit-l-emission-10-mars-1be61_10xoe_.html 1ère partie:
Carole Zalberg en vitrine, coups de coeur d'un librairie
En vitrine de la librairie La Terrasse de Gutenberg, 9 rue Emilio Castelar, Paris 12ème…
Avec Jospin, 2006
Nous étions au Sérail, rendus gais et volubiles par le champagne offert à volonté. Il est venu pour dédicacer son livre. Il n’était pas entouré d’une clique de courtisans ou de gardes du corps; il semblait accessible