(…) Pour dire cette passion socialement interdite et ici paisiblement assumée, sans s’attarder justement sur la toile qui enserre les amants, où guettent culpabilité et vaudeville, elle trouve une écriture d’une rare justesse, d’une poésie à la fois très physique et très légère, d’une beauté diaphane terriblement présente et vive, oscillant subrepticement entre réalité et rêve… Poursuivre la lecture A propos de “L’invention du désir”, sur le blog de la librairie Charybde
Catégorie : Presse – L’invention du désir
Toutes les critiques de presse consacrées au livre : L’invention du désir.
A propos de L’invention du désir sur le blog Mademoiselleindo
Un livre chroniqué plus de deux ans après sa publication, voilà qui fait plaisir! Un roman nommé désir
A propos de "L'invention du désir" sur Lacauselitteraire.fr
Avec une retenue, une pudeur qui n’empêchent pas la sensualité ni la passion qui se déverse brutalement, Carole Zalberg tisse les fils d’une histoire du XXIème siècle qui se place hors du temps. La prose est fraîche et poétique, distinguée, douce. Les mots sont mis sur des sensations, des émotions qu’on pensait impossibles à transcrire dans un texte. Et qui ne les dénaturent pas pour autant, au contraire.
Dominique Lin, libraire, à propos de L'invention du désir
Dès la première page, vous êtes accroché. Un nouvel univers, riche, puissant, imagé : une vraie écriture.
A propos de "L'invention du désir" sur le blog cestdurdetreunetortue
L’invention du désir est une petite merveille mêlant la prose douce et poétique de Carole Zalberg et les dessins beaucoup plus concrets et évocateurs de Fréderic Poincelet.
Emmanuelle Caminade à propos de L'invention du désir
(…) Un exercice difficile que Carole Zalberg réussit brillamment en inventant les mots pour dire la joie tremblante des corps qui cherchent à se rejoindre dans ce «point» au-delà de la solitude première de chaque être. Un langage qui suggère avec force, lyrisme et sensualité, avec pudeur mais sans retenue. Une langue poétique magnifique, musicale – jouant sur les assonances et les allitérations, sur les rythmes -, faisant surgir avec des mots simples une multitude d’images neuves d’une grande beauté approchant avec justesse la vérité du désir et du plaisir.
Un livre qui se lit comme un poème , un chant d’amour.
Stéphanie Hochet à propos de "L'invention du désir"
Article paru dans Le Jeudi du 23 décembre 2010
L'escale littéraire à propos de "L'invention du désir"
(…) Cette femme amoureuse semble transcender les mots communément employés en matière de relations amoureuses, jusqu’à en inventer pour raconter leurs corps-à-corps.(…)
Pierrette Fleutiaux à propos de "l'Invention du désir"
(…) La première phrase ici est capitale : « ce sont elles qui ont décidé, nos mains. »
Il me semble que Carole Zalberg arrive à se tenir au plus près de ces mains, à donner langage à ces mains.
(…) Quant à l’écriture, l’invention du désir est ici – magistralement – l’invention des mots du désir.
Martin Page à propos de "l'invention du désir"
C’est poétique et juste, sensible, ça fait presque mal de le lire