“A défaut d’Amérique” et “L’illégitime” dans Médiapart

(…) La prose de Carole Zalberg est tout en litote et retenue, poésie dense, avec des fractures stylistiques brutales, emportements, colères, pointes ironiques. Difficile de rendre avec d’autres mots cet équilibre fragile et pourtant parfait entre ampleur et détail, justesse intime et universelle : A défaut d’Amérique est un roman de filiation et d’émancipation, un… Poursuivre la lecture “A défaut d’Amérique” et “L’illégitime” dans Médiapart

Sélection de Noël de la RTBF

Magnifique également, le deuxième livre de la trilogie consacrée par Carole Zalberg aux femmes d’une même lignée. Paru en janvier 2009 chez Albin Michel, “Et qu’on m’emporte” est la digne suite de “La mère horizontale”. On suit les errements d’une mauvaise mère, Emma, qui fait le point au soir de sa vie sur les abandons, les renoncements et les errances d’une vie éprise de liberté. Les mots sont cinglants, les phrases économes et étincelantes. Mais derrière le style sublime et non-ostentatoire, la plume ne glisse jamais gratuitement sur la feuille.

Dans Ouest France à propos d'Et qu'on m'emporte

Ouest France, le 22/04/09 “Quelle ironie, n’est-ce pas? Me voilà couchée sur le dernier lit, clouée devrais-je dire : plus jamais debout vive à me mouvoir ni désirer ni frémir…” Emma se meurt d’un cancer. elle qui a toujours privilégié son plaisir, au point d’abandonner sa fille d’un premier lit, songe à celle-ci, disparue de… Poursuivre la lecture Dans Ouest France à propos d'Et qu'on m'emporte

Frédérique Bréhaut à propos d'Et qu'on m'emporte dans Courrier de l'Ouest

Courrier de l’Ouest Dimanche Le 29/03/2009 Notre sélection de la semaine Les petits cailloux Loin de s’adoucir à l’approche de sa fin, Emma se confesse avec toute la rugosité dont elle est capable. Les vents libertaires de Mai 68 ont incité cette amoureuse à quitter ses enfants. Ses filles ne s’en relèveront pas. L’une abdique… Poursuivre la lecture Frédérique Bréhaut à propos d'Et qu'on m'emporte dans Courrier de l'Ouest