Un arbre et un auteur… Lequel des deux nous raconte une histoire ? Est-ce l’histoire d’un arbre racontée par un auteur ou bien l’histoire des hommes racontée par un arbre ? Dans les mémoires d’un arbre de Carole Zalberg, on dirait que l’arbre, être vivant mais végétal, s’est servi de l’auteur comme de l’outil lui permettant de s’exprimer ! L’arbre, dont le bois fait « les pages sur lesquelles les hommes réinventent leur histoire », se donne entièrement dans ce livre dont Carole Zalberg ne serait que l’humble traductrice
Catégorie : Critiques de lecteurs
Toutes les critiques rédigées par des lecteurs.
Une réaction poético/philosophique de Iannis Pledel
(à propos de Chez Eux) Dieu est mort, Ainsi, Dieu est mort, pourrait être l’épitaphe de cette triste période…historique, aimerait-on rajouter…aimerait-on…n’est-ce pas ? Mais, aimerait-on ? Oui sans aucun doute, toujours. Ni mort ni abandon ne souffriront le déclin des doux leurres de l’amour. Quand le paradoxe d’une phrase est à double tranchant comme celle-ci.… Poursuivre la lecture Une réaction poético/philosophique de Iannis Pledel
Une réaction historico/coup de gueule de Frédéric Bourtayre
Il y a quelques mois, Carole m’a fait parvenir le manuscrit de « Chez eux ». Conscient de la valeur salutaire d’une lecture attentive mais néanmoins rapide sur les nerfs d’un auteur (je suis moi-même auteur !) je m’attelai aussitôt à mon devoir de lecteur. Peu doué, et encore moins qualifié pour la critique littéraire,… Poursuivre la lecture Une réaction historico/coup de gueule de Frédéric Bourtayre
La Mère horizontale et Et qu'on m'emporte coup de coeur d'Amélie Nothomb
Le coup de cœur d’Amélie Nothomb dans Service Littéraire, le mensuel de l’actualité romanesque, dirigé par François Cérésa. Avril 2009. Le site du journal : http://www.servicelitteraire.fr
Des réactions de lecteurs à Et qu'on m'emporte
Les dernières réactions de lecteurs A propos d’Et qu’on m’emporte J’ai fini ton livre hier soir, quelle force, quelle musicalité ce monologue! Quelle tension aussi dans cette épure qui accède au plus profond, au plus douloureux, l’indicible, comme seuls les authentiques écrivains ou les comédiens l’éprouvent, l’expriment, eux dont c’est le rude job de franchir… Poursuivre la lecture Des réactions de lecteurs à Et qu'on m'emporte
Arnaud Huber à propos d'Et qu'on m'emporte
Quoique me risquant depuis quelques temps à tutoyer la vocation d’auteur, je reste un simple lecteur. Pas un grand lecteur. Je lis peu, car très lentement. Mais un lecteur que les mots, les beaux, les forts, les purs, emportent aisément. C’est ce qu’il m’est arrivé à la lecture du dernier, beau, fort et pur, roman… Poursuivre la lecture Arnaud Huber à propos d'Et qu'on m'emporte
Amélie Nothomb à propos d'Et qu'on m'emporte
Belle surprise dans mon courrier , cette lettre d’Amélie Nothomb qui était partie en vacances avec les épreuves de mon roman paru le 4 février… Chère Carole, J’ai lu ton livre avec une émotion profonde. Ensuite, j’y ai beaucoup pensé. Hier, dans une illumination, il m’est apparu que tu avais écrit le roman de Clytemnestre.… Poursuivre la lecture Amélie Nothomb à propos d'Et qu'on m'emporte
Ma mère est une junkie – Critique d'Audrey Diwan
A propos de La Mère Horizontale : Ma mère est une junkie. Par Audrey Diwan
juin 2008
Déjà sa mère l’a appelée Fleur parce qu’elle a été conçue avec un parfait inconnu dans un champ printanier. La pauvre enfant n’a de souvenir de cette femme qu’allongée par terre, ivre ou droguée. Et elle
Critique sur CritiquesLibres.com
Critique de Léa et les voix
Par “Miller” le 24 juin 2003
« Déraillement contrôlé, dans le marais »
Avec ce second roman, l’auteure montre ses talents de concertiste, son indéniable capacité à intérioriser ses personnages, au point d’en sortir un son propre à chacun, avec cette capacité d’orchestrer le tout pour en faire une harmonie, donc un style.
Antoine, médecin, vit dans « le marais », selon sa propre
Mort et vie de Lili Riviera – CritiquesLibres.com
Un livre qui nous parle de désir, du désir des autres, du désir d’être aimé, du désir charnel aussi suscité par cette Lili Riviera, poupée de chair modelée à coup de bistouri pour devenir une star du porno, la femme « aux plus gros seins du monde ».