A propos de "L'invention du désir" sur le blog Sophielit

(…) Avec une retenue, une pudeur qui n’empêchent pas la sensualité ni la passion qui se déverse brutalement, Carole Zalberg tisse les fils d’une histoire du XXIème siècle qui se place hors du temps. La prose est fraîche et poétique, distinguée, douce. Les mots sont mis sur des sensations, des émotions qu’on pensait impossibles à… Poursuivre la lecture A propos de "L'invention du désir" sur le blog Sophielit

A propos de "L'invention du désir"

L'invention du désir, 2010, Éditions du Chemin de fer.

Sur l’excellent blog Paris-ci la Culture et sur le non moins excellent Boojum “« Ce sont elles qui ont décidé. Nos mains ». Voici l’incipit de L’invention du désir, de Carole Zalberg, qui sort aux Editions du Chemin de fer, illustré par Frédéric Poincelet. Au début, un homme et une femme sont dans un taxi.… Poursuivre la lecture A propos de "L'invention du désir"

Arnaud Huber à propos d'Et qu'on m'emporte

Quoique me risquant depuis quelques temps à tutoyer la vocation d’auteur, je reste un simple lecteur. Pas un grand lecteur. Je lis peu, car très lentement. Mais un lecteur que les mots, les beaux, les forts, les purs, emportent aisément. C’est ce qu’il m’est arrivé à la lecture du dernier, beau, fort et pur, roman… Poursuivre la lecture Arnaud Huber à propos d'Et qu'on m'emporte

Anne-Laure Bovéron à propos d'Et qu'on m'emporte

Dans cet audacieux deuxième volet de sa trilogie des « Tombeaux » intitulé « Et qu’on m’emporte », Carole Zalberg donne la parole à une mère qui ne l’a jamais vraiment été. Elle explore sous un nouvel angle la maternité, les liens mère – fille, les héritages générationnels. Un roman singulier, emporté et touchant, aux allures de tragédie grecque. Et en lice pour le Prix des Lilas 2009…