C’est simple, bien écrit, entraînant et on a envie de rouvrir ce livre dès que l’on a cinq minutes tant il est captivant.
Étiquette : Presse du Web
A propos de "L'invention du désir" sur le blog Sophielit
(…) Avec une retenue, une pudeur qui n’empêchent pas la sensualité ni la passion qui se déverse brutalement, Carole Zalberg tisse les fils d’une histoire du XXIème siècle qui se place hors du temps. La prose est fraîche et poétique, distinguée, douce. Les mots sont mis sur des sensations, des émotions qu’on pensait impossibles à… Poursuivre la lecture A propos de "L'invention du désir" sur le blog Sophielit
A propos de "L'invention du désir"
Sur l’excellent blog Paris-ci la Culture et sur le non moins excellent Boojum “« Ce sont elles qui ont décidé. Nos mains ». Voici l’incipit de L’invention du désir, de Carole Zalberg, qui sort aux Editions du Chemin de fer, illustré par Frédéric Poincelet. Au début, un homme et une femme sont dans un taxi.… Poursuivre la lecture A propos de "L'invention du désir"
A propos de "J'aime pas dire bonjour" sur Ricochet.org
(…) Un petit livre malicieux au ton très enlevé (…) Extrait de la chronique de Catherine Gentile à lire en intégralité sur l’excellent site Ricochet.org http://www.ricochet-jeunes.org/nouveautes/livre/41185-j-aime-pas-dire-bonjour
A propos de "J'aime pas dire bonjour" sur le site "Les chroniques de l'imaginaire"
“Bref, c’est plutôt du bon boulot.” Extrait de l’article à lire là : à propos de \”J\’aime pas dire bonjour\”
A propos d'Et qu'on m'emporte dans Info du sud
Le roman de Carole Zalberg a cette puissance qu’ont les chants sombres et tristes qui touchent au cœur de l’humain.
Et qu'on m'emporte dans Lepetitjournal.com
Pendant que les enfants décoreront les œufs, les planqueront et les chercheront, voilà de quoi passer un formidable week-end de lectures. Laissez Carole Zalberg, Sefi Atta et Valérie Saubade vous entraîner dans leurs desseins familiaux ! Vous en sortirez plus armé…
Arnaud Huber à propos d'Et qu'on m'emporte
Quoique me risquant depuis quelques temps à tutoyer la vocation d’auteur, je reste un simple lecteur. Pas un grand lecteur. Je lis peu, car très lentement. Mais un lecteur que les mots, les beaux, les forts, les purs, emportent aisément. C’est ce qu’il m’est arrivé à la lecture du dernier, beau, fort et pur, roman… Poursuivre la lecture Arnaud Huber à propos d'Et qu'on m'emporte
A propos d'Et qu'on m'emporte, par Clarabel
A lire là, le très bel article de Clarabel, l’une des blogueuses littéraires les plus actives de la toile.
Anne-Laure Bovéron à propos d'Et qu'on m'emporte
Dans cet audacieux deuxième volet de sa trilogie des « Tombeaux » intitulé « Et qu’on m’emporte », Carole Zalberg donne la parole à une mère qui ne l’a jamais vraiment été. Elle explore sous un nouvel angle la maternité, les liens mère – fille, les héritages générationnels. Un roman singulier, emporté et touchant, aux allures de tragédie grecque. Et en lice pour le Prix des Lilas 2009…