“A défaut d’Amérique” et “L’illégitime” dans Médiapart

(…) La prose de Carole Zalberg est tout en litote et retenue, poésie dense, avec des fractures stylistiques brutales, emportements, colères, pointes ironiques. Difficile de rendre avec d’autres mots cet équilibre fragile et pourtant parfait entre ampleur et détail, justesse intime et universelle : A défaut d’Amérique est un roman de filiation et d’émancipation, un… Poursuivre la lecture “A défaut d’Amérique” et “L’illégitime” dans Médiapart

Sélection de Noël de la RTBF

Magnifique également, le deuxième livre de la trilogie consacrée par Carole Zalberg aux femmes d’une même lignée. Paru en janvier 2009 chez Albin Michel, “Et qu’on m’emporte” est la digne suite de “La mère horizontale”. On suit les errements d’une mauvaise mère, Emma, qui fait le point au soir de sa vie sur les abandons, les renoncements et les errances d’une vie éprise de liberté. Les mots sont cinglants, les phrases économes et étincelantes. Mais derrière le style sublime et non-ostentatoire, la plume ne glisse jamais gratuitement sur la feuille.

Dans L'Appel, à propos de La Mère Horizontale

Dans L’Appel (Belgique) le 1er février 2009 Etre Mère “Elles ne m’ont pas emportée dans leur tombe. Ni ma mère, ni la mère de ma mère. Je suis vivante, je me tiens debout et j’avance droit… Dans mon ventre une vie bat. la naissance de cet enfant, ce sera un pied de nez aux mortes… Poursuivre la lecture Dans L'Appel, à propos de La Mère Horizontale

Amélie Rouher à propos d'Et qu'on m'emporte et de La Mère Horizontale

Requiem pour les Reines Les mères sont des phares. Les mères sont des temples. Les mères sont des idoles de pierre et des marbres en sang. N’est-ce pas la marotte de l’art et de l’imaginaire collectif de stocker ses mères debout ? C’est surtout le chiqué et l’Alpha chrétien que de les aimer dressées dans… Poursuivre la lecture Amélie Rouher à propos d'Et qu'on m'emporte et de La Mère Horizontale