(…) La prose de Carole Zalberg est tout en litote et retenue, poésie dense, avec des fractures stylistiques brutales, emportements, colères, pointes ironiques. Difficile de rendre avec d’autres mots cet équilibre fragile et pourtant parfait entre ampleur et détail, justesse intime et universelle : A défaut d’Amérique est un roman de filiation et d’émancipation, un… Poursuivre la lecture “A défaut d’Amérique” et “L’illégitime” dans Médiapart