A propos de “A défaut d’Amérique”

AU NOM DES FEMMES ET DE CE QU’ELLES ENDURENT… “Vois-tu ma nièce, je regarde autour de moi, ce monde que mes propres rêves jamais trahis ont contribuer à façonner, ce monde qui n’est pas moins violent aujourd’hui qu’hier et guère plus juste. Je compte mes victoires et si je continue d’en être un peu fière… Poursuivre la lecture A propos de “A défaut d’Amérique”

“A défaut d’Amérique” sur le blog Sab’s pleasures

“(…) Le récit, sensible et sobre, varie donc les points de vue avec beaucoup de finesse. L’écriture de Carole Zalberg, précise et belle, nous embarque d’un bord à l’autre de l’Atlantique avec conviction et nous invite à participer à cette entreprise mémorielle. C’est aussi une histoire de femmes aux profils et aux destins contrastés. Au delà… Poursuivre la lecture “A défaut d’Amérique” sur le blog Sab’s pleasures

“A défaut d’Amérique” sur le blog de Charybde2

(…)  le dixième et avant-dernier (à ce jour) texte de Carole Zalberg réussit encore une prouesse d’enchâssement subtil, en glissant, au cœur d’un récit familial à facettes orchestré autour du destin de familles juives persécutées et détruites, d’adroites et profondes interrogations contemporaines qui résonneront longtemps, sans lourdeur mais profondément, chez la lectrice ou le lecteur. (…)… Poursuivre la lecture “A défaut d’Amérique” sur le blog de Charybde2

A Défaut d’Amérique sur le blog “Fais moi les poches”

(…) Carole Zalberg nous prend avec elle, de Varsovie à la rue Beaubourg, de Palm Beach à l’Afrique du sud, des pogroms aux tours jumelles. Avec ces femmes et leurs familles, acteurs et victimes d’un siècle qui donne le tournis. L’Histoire prend grâce à elle des visages attachants et on peine à abandonner A défaut… Poursuivre la lecture A Défaut d’Amérique sur le blog “Fais moi les poches”

A propos d’A défaut d’Amérique dans “Hommes et migrations”

(…) Ce roman, d’une portée universelle, nous montre à quel point nous sommes façonnés par ce que nos aïeux ont vécu. Ni Fleur ni Suzan n’auraient pu se libérer du passé sans reconstituer, avec des mots, l’histoire de leurs disparus. Une manière de leur fabriquer la sépulture qu’ils n’ont jamais eue… “J’imagine que je me suis… Poursuivre la lecture A propos d’A défaut d’Amérique dans “Hommes et migrations”