(…) Un exercice difficile que Carole Zalberg réussit brillamment en inventant les mots pour dire la joie tremblante des corps qui cherchent à se rejoindre dans ce «point» au-delà de la solitude première de chaque être. Un langage qui suggère avec force, lyrisme et sensualité, avec pudeur mais sans retenue. Une langue poétique magnifique, musicale – jouant sur les assonances et les allitérations, sur les rythmes -, faisant surgir avec des mots simples une multitude d’images neuves d’une grande beauté approchant avec justesse la vérité du désir et du plaisir.
Un livre qui se lit comme un poème , un chant d’amour.