Compte-rendu de la soirée du 13 janvier 2011

Mais surtout, il me semble que ces trois textes tiennent droit et sont puissants parce que ce que vous allez chercher tous les trois, c’est ce qui, en l’homme, est irréductible. D’accord, vous mettez les mains dans le cambouis, mais c’est pour en rapporter une chose essentielle, une sorte de noyau : cette part de l’homme qui résiste.

A propos de "Nous étions des êtres vivants", de Nathalie Kuperman

Dans l’écume des jours* Le nouveau roman de Nathalie Kuperman s’annonce moins décalé et intimiste que les précédents. Nous étions des êtres vivants retrace en effet ce temps terrible où une entreprise attend d’être liquidée ou reprise. On est donc là face à l’un de ces sujets réalistes et sensibles qui occupent, à juste titre,… Poursuivre la lecture A propos de "Nous étions des êtres vivants", de Nathalie Kuperman

A propos de Petit déjeuner avec Mick Jagger, de Nathalie Kuperman

A propos de Petit déjeuner avec Mick Jagger, Nathalie Kuperman, L’Olivier, 2008. La possibilité de Mick Les romans de Nathalie Kuperman me font penser à ce qui guette de l’autre côté du mur quand on habite en haut d’une tour : la menace du vide. Cette menace est constante mais il faut se pencher par… Poursuivre la lecture A propos de Petit déjeuner avec Mick Jagger, de Nathalie Kuperman