Être chroniquée par la plume sublime d’Isabelle Bunisset (lisez son “Vers la nuit”, paru chez Flammarion l’an dernier), c’est un peu une consécration. Joie et gratitude.
Zalblog
L’affiche de Feu pour feu
On y voit le mur et le mouvement, les mondes séparés, les ruines calcinées. Une réussite!
“Je dansais” dans La Croix
“(…) En un texte court et d’une vibrante puissance, l’écrivain confère une profondeur rare à ses personnages. Une écriture délicate et incandescente, où la vie palpite à chaque phrase, emporte le lecteur dans les têtes, les douleurs et les espoirs de chacun.” Article complet à lire là.
“Je dansais” par Christine Ferniot
“(…) Je dansais est donc un livre utile que l’amplitude structurelle et l’écriture tantôt rugueuse tantôt ondoyante transforment en roman puissant;”
“Je dansais” par Karine Papillaud
“(…) Impossible de faire l’impasse sur l’écriture de Carole Zalberg, la clarté troublante de sa ligne de narration, la fluidité et l’emploi toujours net et juste du moindre mot, sans impudeur ni larmes. Je dansais fait du lecteur un funambule au pas sûr et léger dans un texte qui évite une multitude d’écueils et de… Poursuivre la lecture “Je dansais” par Karine Papillaud
“Je dansais” sur Agathe The Book
(…) La prouesse de l’auteur est selon moi, d’avoir réussi à glisser de la poésie dans ce récit si dur. Et cette interrogation, qui n’en finit pas de nous hanter: « Quelle divinité mettons-nous ainsi en colère pour qu’elle s’acharne ainsi? De quel rouage sommes nous le grain de sable? Quelle faute nous fait-on payer depuis… Poursuivre la lecture “Je dansais” sur Agathe The Book
Conférence d’Antony Soron sur “Feu pour feu”
Feu pour feu de Carole Zalberg ou Le cri de la littérature monde Plan I] Le feu sacré du « je » II] Ecrire sur la ligne de crête III] « je » ne suis qu’un cri I] Le feu sacré du « je » Carole Zalberg donne ici la parole à un migrant vraisemblablement originaire de l’Afrique… Poursuivre la lecture Conférence d’Antony Soron sur “Feu pour feu”
“Je dansais” dans “Le quotidien Julia”
“(…) J’avoue aussi avoir un petit faible pour les œuvres de Carole Zalberg. Cette excellente auteure a quelque chose de vrai, de précis, quand je lis ce qu’elle écrit, qui me pousse toujours vers ses livres, je ne sais pas l’expliquer, c’est comme ça !(…)” Lire là chronique complète :
“Je dansais” dans “Les lectures du hibou”
“(…) Je découvre avec ce roman la plume de Carole Zalberg. Quelle découverte ! Je dansais est un roman poignant, bouleversant, qui prend aux tripes dès le début et ne vous lâche plus.(…)” Lire la chronique complète là.
“Je dansais” dans “Les plaisirs de Marc Page”
“(…) Carole Zalberg a cette humanité de l’écrivain de ne pas enfermer l’ignoble, mais de comprendre et d’ouvrir les voies de la reconstruction.” Chronique à lire là