“Feu pour feu”, la pièce, sur le blog La grande parade

“(…) Le texte de Carole Zalberg se singularise par ce système d’écho, quasi polyphonique, qu’elle instaure, impose, grâce à la mise en scène de l’italien Gerardo Maffei, L’auteure a choisi de ne pas donner la priorité à une seule voix, celle du père/mère, mais bien à deux voix, faisant se répondre le discours paternel à celui… Poursuivre la lecture “Feu pour feu”, la pièce, sur le blog La grande parade

Feu pour feu au Théâtre de Belleville

FEU POUR FEU CRÉATION – PREMIÈRE FRANÇAISE Texte Carole Zalberg Texte édité aux éditions Actes Sud, collection « Un endroit où aller » Ce texte a reçu le Prix Littérature-Monde 2014 et le Prix des Lycéens d’Ile-de-France 2014. Mise en scène Gerardo Maffei Avec Fatima Soualhia-Manet Assistanat à la mise en scène Francesca Cominelli Décors… Poursuivre la lecture Feu pour feu au Théâtre de Belleville

Entretien autour de “Je dansais” sur Le quotidien Julia

“(…)En tant qu’écrivain, je ne fais que cela, creuser, chercher sous la surface, démonter les mécanismes, les enchaînements, les déraillements. Il est évident, je crois, que je ne cautionne rien des actes d’Édouard. Tout le roman met au jour cette violence qui, si souvent, infuse le désir des hommes. Mais il ne m’appartient pas de… Poursuivre la lecture Entretien autour de “Je dansais” sur Le quotidien Julia

“Je dansais” sur ActuaLitté

“(…) Une économie de mots, une émotion ardente arriment solidement le lecteur au texte, sans possibilité de détour ou de détachement. Aussi, peu importe l’âpreté et la noirceur de l’histoire, il les éprouve, pénétré par l’écriture poétique, possédé par le rythme alterné des voix, transpercé par les cris de désespoir, les tourments intérieurs, la folie de… Poursuivre la lecture “Je dansais” sur ActuaLitté

“Je dansais” sur RCF

“(…) Je me méfie de cette littérature qui voudrait parier sur un sujet violent au possible pour tenir son lecteur. Sauf que c’est Carole Zalberg qui écrit, que sa langue ne m’a jamais déçue et que sa sensibilité à raconter la douleur avec délicatesse m’a souvent subjuguée. (…)”