“A défaut d’Amérique” par Stéphanie Joly

(…) Carole Zalberg nous offre un voyage à travers les femmes, où de chair en chair, on voit ce qui a construit la génération suivante. Pour autant, elle ne prétend rien enseigner ni expliquer. Chaque génération prenant ce qui lui est légué, pour devenir ce qu’il en fera, devenir ce qu’il voudra bien faire de… Poursuivre la lecture “A défaut d’Amérique” par Stéphanie Joly

A propos de “A défaut d’Amérique” dans Sud Ouest

“L’auteur accompagne ses personnages, semble les tenir par la main, refuse de les juger.” (…) “Combien d’années encore pour réintégrer l’homme, si fragile, si grand, dans l’humanité, dans le monde ? Que cette intégration se fasse quelque jour, malgré sa souffrance, à cause de sa souffrance, Carole Zalberg n’en doute pas. Un mouvement de bascule… Poursuivre la lecture A propos de “A défaut d’Amérique” dans Sud Ouest

A Défaut d’Amérique dans "Page des libraires"

Trois Générations, Trois continents “A défaut d’Amérique”, un beau titre pour un très beau roman. A défaut de vous en résumer (maladroitement) l’histoire (captivante), voici deux bonnes raisons de lire ce texte. Par Emmanuelle George, Librairie Gwalarn, Lannion Primo : force est de constater qu’avec carole Zalberg, nous avons affaire à une excellente conteuse. Elle… Poursuivre la lecture A Défaut d’Amérique dans "Page des libraires"

A propos de "L'invention du désir" sur Lacauselitteraire.fr

Avec une retenue, une pudeur qui n’empêchent pas la sensualité ni la passion qui se déverse brutalement, Carole Zalberg tisse les fils d’une histoire du XXIème siècle qui se place hors du temps. La prose est fraîche et poétique, distinguée, douce. Les mots sont mis sur des sensations, des émotions qu’on pensait impossibles à transcrire dans un texte. Et qui ne les dénaturent pas pour autant, au contraire.

Emmanuelle Caminade à propos de L'invention du désir

(…) Un exercice difficile que Carole Zalberg réussit brillamment en inventant les mots pour dire la joie tremblante des corps qui cherchent à se rejoindre dans ce «point» au-delà de la solitude première de chaque être. Un langage qui suggère avec force, lyrisme et sensualité, avec pudeur mais sans retenue. Une langue poétique magnifique, musicale – jouant sur les assonances et les allitérations, sur les rythmes -, faisant surgir avec des mots simples une multitude d’images neuves d’une grande beauté approchant avec justesse la vérité du désir et du plaisir.

Un livre qui se lit comme un poème , un chant d’amour.