“L’auteur accompagne ses personnages, semble les tenir par la main, refuse de les juger.”
(…)
“Combien d’années encore pour réintégrer l’homme, si fragile, si grand, dans l’humanité, dans le monde ? Que cette intégration se fasse quelque jour, malgré sa souffrance, à cause de sa souffrance, Carole Zalberg n’en doute pas. Un mouvement de bascule plonge dans la lumière ce qui était dans la nuit.”
Article signé Isabelle Bunisset, à lire en pdf là :sudouest
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