Deux articles à lire dans Libération Rubrique “Comment ça s’écrit”, à propos de “Minuit dans une vie parfaite”, de Michael Collins, Christian Bourgois, 2011. La faute des pères, la croix des fils Pages France : A propos du projet de loi sur l’internement psychiatrique débattu à l’Assemblée le 15 mars 2010. C’est l’âme qu’on… Poursuivre la lecture Libé des écrivains du 17 mars 2011
Catégorie : Chroniques
Chroniques littéraires.
A propos de "La blessure la vraie", de François Bégaudeau
On était là quand un idiot, un sublime innocent était malmené par le groupe tandis qu’on se taisait. On était là, dans les conversations poussives et aussi dans l’évidence d’une ultime rencontre, sa promesse qui ne serait jamais tenue. On était dans ce rythme et ce décor daté, quasi disparu, dans ces lieux que la tempête, vingt ans plus tard, viendrait effacer.
On était là quand Bégaudeau, sous nos yeux, s’inventait écrivain.
De l'intérêt de la littérature jeunesse
“… ça m’a appris à écouter les livres.” Jérémie (élève de cm2) La semaine dernière, François Busnel publiait ça : lisez-jeunesse_939382.html Heureusement, Valérie Zenatti lui répondait ça : lisez-de-la-litterature-jeunesse-francois-busnel Heureusement encore, hier, je recevais la lettre suivante, d’un instituteur dont j’avais rencontré la classe de cm2 dans le cadre d’une intervention scolaire (et je sais… Poursuivre la lecture De l'intérêt de la littérature jeunesse
A propos de "Où j’ai laissé mon âme", de Jérôme Ferrari
La fin et les moyens* Jérôme Ferrari est un mineur de fond. Livre après livre il descend vers l’obscur, éclaire, paré de sa langue lumineuse et de sa compassion, les zones reculées où se cache le cœur de l’homme. On l’imagine écrire sous la dictée d’une fièvre, celle de creuser et creuser encore à la… Poursuivre la lecture A propos de "Où j’ai laissé mon âme", de Jérôme Ferrari
A propos de "Nous étions des êtres vivants", de Nathalie Kuperman
Dans l’écume des jours* Le nouveau roman de Nathalie Kuperman s’annonce moins décalé et intimiste que les précédents. Nous étions des êtres vivants retrace en effet ce temps terrible où une entreprise attend d’être liquidée ou reprise. On est donc là face à l’un de ces sujets réalistes et sensibles qui occupent, à juste titre,… Poursuivre la lecture A propos de "Nous étions des êtres vivants", de Nathalie Kuperman
Sur le site du Théâtre du Rond-Point
Une chronique publiée dans la revue en ligne Vents contraires, sur le site du théâtre du Rond-Point. Rubrique : “Au secours les mots”, dirigée par Martin Page. A lire là : Carole Zalberg défend le mot “racaille”
A propos de Bonjour Anne, de Pierrette Fleutiaux
A travers cet exercice de recueillement – un recueillement qui serait à la fois hommage et collecte – Pierrette Fleutiaux parle aussi de toutes les femmes et en parle à toutes les femmes. Celles d’hier qui ont su ou non s’affranchir des carcans, celles d’aujourd’hui qui pourraient être tentées de baisser la garde, celles de demain, pour qui l’on tremble un peu. Car si l’on a pu oublier en une ou deux décennies l’œuvre reconnue et célébrée d’Anne Philippe, qu’en sera-t-il des combats menés pour l’égalité ? Qu’en sera-t-il des libertés si douloureusement gagnées ? Une société qui ne sait pas se souvenir n’est-elle pas condamnée au recul, voire à la répétition du pire ?
A propos de Jardin Blanc, de Laura Alcoba
Laura Alcoba sera mon invitée à la librairie La Terrasse de Gutenberg le jeudi 8 avril 2010 à 20h. Cet article est paru dans le Magazine des Livres. Croire aux fantômes Dans Manèges, paru chez Gallimard en 2007, Laura Alcoba reconstituait par petites touches sensibles son enfance volée sous la dictature argentine. Vus à hauteur… Poursuivre la lecture A propos de Jardin Blanc, de Laura Alcoba
A propos de Des corps en silence, de Valentine Goby
Valentine Goby sera mon invitée à la librairie La Terrasse de Gutenberg le 3 juin. Article paru dans le Magazine des livres de Mars/Avril 2010 Quand le désir se retire En juxtaposant le cheminement intérieur de deux femmes confrontées à la mort du désir, l’une de nos jours, l’autre au début du XXème siècle, Valentine… Poursuivre la lecture A propos de Des corps en silence, de Valentine Goby
A propos de Démon, de Thierry Hesse
Hesse, avec obstination, grâce à une écriture précise et dépourvue d’effets, nous maintient dans les sales draps des Hommes. C’est aussi suffocant qu’efficace.