Arnaud Huber à propos d'Et qu'on m'emporte

Quoique me risquant depuis quelques temps à tutoyer la vocation d’auteur, je reste un simple lecteur. Pas un grand lecteur. Je lis peu, car très lentement. Mais un lecteur que les mots, les beaux, les forts, les purs, emportent aisément. C’est ce qu’il m’est arrivé à la lecture du dernier, beau, fort et pur, roman… Poursuivre la lecture Arnaud Huber à propos d'Et qu'on m'emporte

Au Field de la Nuit

L’émission du 10 mars à voir là. Parmi les autres invités : François Bégaudeau (que je recevrai le 11 juin à la Terrasse de Gutenberg), Philippe Torreton, Gilles Jacob… 2e partie. Carole passe à partir de 10’24 http://www.wat.tv/video/field-nuit-l-emission-10-mars-1be61_10xoe_.html 1ère partie:

Dans L'est-éclair à propos d'Et qu'on m'emporte

Paru le 15/02/2009 dans L’est-éclair ” Je ne sais trop quoi faire de l’idée qu’à coup sûr elle va me survivre . je t’ai survécu. je n’ignore rien de l’horreur que c’est. Même pour moi, qui me figurais ne plus t’aimer, ne plus du tout tenir à toi. J’avais parfaitement vécu sans toi toutes ces… Poursuivre la lecture Dans L'est-éclair à propos d'Et qu'on m'emporte

Dans L'Appel, à propos de La Mère Horizontale

Dans L’Appel (Belgique) le 1er février 2009 Etre Mère “Elles ne m’ont pas emportée dans leur tombe. Ni ma mère, ni la mère de ma mère. Je suis vivante, je me tiens debout et j’avance droit… Dans mon ventre une vie bat. la naissance de cet enfant, ce sera un pied de nez aux mortes… Poursuivre la lecture Dans L'Appel, à propos de La Mère Horizontale

Amélie Nothomb à propos d'Et qu'on m'emporte

Belle surprise dans mon courrier , cette lettre d’Amélie Nothomb qui était partie en vacances avec les épreuves de mon roman paru le 4 février… Chère Carole, J’ai lu ton livre avec une émotion profonde. Ensuite, j’y ai beaucoup pensé. Hier, dans une illumination, il m’est apparu que tu avais écrit le roman de Clytemnestre.… Poursuivre la lecture Amélie Nothomb à propos d'Et qu'on m'emporte

Anne-Laure Bovéron à propos d'Et qu'on m'emporte

Dans cet audacieux deuxième volet de sa trilogie des « Tombeaux » intitulé « Et qu’on m’emporte », Carole Zalberg donne la parole à une mère qui ne l’a jamais vraiment été. Elle explore sous un nouvel angle la maternité, les liens mère – fille, les héritages générationnels. Un roman singulier, emporté et touchant, aux allures de tragédie grecque. Et en lice pour le Prix des Lilas 2009…