“Napo et moi sur Hotel California” a été lue à la Radio Suisse Romande, dans l’émission “Drôles d’Histoires” du 15 janvier 2010. A écouter là : http://www.rsr.ch/la-1ere/droles-d-histoires/selectedDate/14/01/2010 (à 30:58)
Zalblog
A propos d’Une ardeur insensée, de Nathalie Azoulai
Cette descente intérieure qui est aussi une renaissance, Azoulai la suit avec la précision crue, tranchante qui est sa manière. Qu’il s’agisse de maternité, thème récurrent chez elle, de sexualité ou du regard porté sur les autres, elle ne tourne pas autour des états d’âme de ses personnages mais s’y engouffre, en spéléologue aguerrie
Sélection de Noël de la RTBF
Magnifique également, le deuxième livre de la trilogie consacrée par Carole Zalberg aux femmes d’une même lignée. Paru en janvier 2009 chez Albin Michel, “Et qu’on m’emporte” est la digne suite de “La mère horizontale”. On suit les errements d’une mauvaise mère, Emma, qui fait le point au soir de sa vie sur les abandons, les renoncements et les errances d’une vie éprise de liberté. Les mots sont cinglants, les phrases économes et étincelantes. Mais derrière le style sublime et non-ostentatoire, la plume ne glisse jamais gratuitement sur la feuille.
Le jour où Lania est partie… en Corée
Le jour où Lania est partie sort en Corée cette semaine.
Le 10 octobre : autour du féminin
Débat : Existe-t-il une expression féminine? Le 10 octobre à partir de 14h30. Halle Saint Pierre 2 rue Ronsard 75018 Paris
Le jour où Lania est partie : sélectionné pour deux prix de lecteurs
Les livres jeunesse ont décidément la vie plus longue : Sorti en février 2008, Le jour où Lania est partie (Grand Prix SGDL du livre jeunesse 2008, sélectionné la même année pour la Bataille des Livres et plusieurs prix organisés par des médiathèques ou des établissements scolaires en Bretagne, à Pau, etc.) est sélectionné pour… Poursuivre la lecture Le jour où Lania est partie : sélectionné pour deux prix de lecteurs
Rencontres à la Terrasse de Gutenberg, c'est reparti!
Noëlle Revaz, première invitée de la saison.
A propos d’Efina, de Noëlle Revaz
D’autres lettres seront rédigées, avec froideur ou frénésie, envoyées ou non, sincères ou mensongères, voulant caresser ou piquer, qu’importe : avec elles c’est l’histoire qui se tisse, Efina et T. se tenant chacun à un bout du métier et, au-dessus d’eux, Revaz, maîtresse du temps, du ton, des couleurs, chorégraphe jamais à cours de trouvailles pour nous garder captifs du ballet qu’elle crée.
Entretien avec Alain Pusel pour AREA Revue(s)
Un désir de paroles et de rencontres. Le temps d’écrire est celui de vivre pour mettre le monde en mots.
A propos de Ce que je sais de Vera Candida, de Véronique Ovaldé
Car Ovaldé, on l’a vu, ne restitue pas la vérité (dans ce cas, on s’en protègerait, on aborderait la lecture toutes défenses dehors). Elle l’invente, la mitonne avec ses mots de fée, sa poésie puisée à la sève des êtres et des choses, son regard tendre et aiguisé.