A propos de "Nous étions des êtres vivants", de Nathalie Kuperman

Dans l’écume des jours* Le nouveau roman de Nathalie Kuperman s’annonce moins décalé et intimiste que les précédents. Nous étions des êtres vivants retrace en effet ce temps terrible où une entreprise attend d’être liquidée ou reprise. On est donc là face à l’un de ces sujets réalistes et sensibles qui occupent, à juste titre,… Poursuivre la lecture A propos de "Nous étions des êtres vivants", de Nathalie Kuperman

En avant-première, la couverture de "L'invention du désir"

A paraître le 4 novembre 2010 aux éditions du Chemin de fer. Pour ceux qui le connaissent, il s’agit d’une nouvelle version, illustrée par Frédéric Poincelet, du texte Une histoire paru en Italie dans le recueil collectif “De B à Z”. Une adaptation théâtrale de ce même texte a également été lue lors de la… Poursuivre la lecture En avant-première, la couverture de "L'invention du désir"

Sur le site du Théâtre du Rond-Point

Une chronique publiée dans la revue en ligne Vents contraires, sur le site du théâtre du Rond-Point. Rubrique : “Au secours les mots”, dirigée par Martin Page. A lire là :  Carole Zalberg défend le mot “racaille”

A propos de Bonjour Anne, de Pierrette Fleutiaux

A travers cet exercice de recueillement – un recueillement qui serait à la fois hommage et collecte – Pierrette Fleutiaux parle aussi de toutes les femmes et en parle à toutes les femmes. Celles d’hier qui ont su ou non s’affranchir des carcans, celles d’aujourd’hui qui pourraient être tentées de baisser la garde, celles de demain, pour qui l’on tremble un peu. Car si l’on a pu oublier en une ou deux décennies l’œuvre reconnue et célébrée d’Anne Philippe, qu’en sera-t-il des combats menés pour l’égalité ? Qu’en sera-t-il des libertés si douloureusement gagnées ? Une société qui ne sait pas se souvenir n’est-elle pas condamnée au recul, voire à la répétition du pire ?