Le roman repose entièrement sur ce paradoxe, en déploie toutes les ramifications : c’est en s’enfermant que la jeune fille refuse les contraintes de son siècle, de sa lignée et se libère, c’est en entrant dans la tombe, et donc en quittant le vivant, qu’elle y accède, le ressent, l’invente jusqu’à la vérité.
Zalblog
A défaut d'Amérique est prêt à sortir (joliment) couvert
Et bien voilà, le petit dernier a de quoi se couvrir avant d’aller à la rencontre du monde.
Une nouvelle image de Denis Deprez pour "L'illégitime"
Quatrième image de Denis Deprez pour “L’illégitime”, récit à paraître en mai 2012 chez Naïve/coll. Livre d’heures dirigée par Jean Rouaud.
Troisième image de Denis Deprez pour "L'illégitime"
L’Illégitime, récit illustré par Denis Deprez à paraître en mai chez Naïve/coll. Livre d’heures dirigée par Jean Rouaud
4ème de couverture d'A défaut d'Amérique, à paraître chez Actes Sud en février
Sur trois générations et plusieurs continents, et de la grande Histoire à l’histoire familiale, Carole Zalberg tisse ici à travers le portraits de quelques femmes inoubliables, le roman d’une humanité aussi fragile que résiliente, hantée, autant que consolée par les indociles fantômes du passé.
Image de Denis Deprez pour L'Illégitime
Une deuxième image signée Denis Deprez pour mon récit “L’illégitime”, à paraître en mai chez Naïve/coll. Livre d’heures dirigée par Jean Rouaud.
Une première image de Denis Deprez pour "L'illégitime"
Le blog de Denis Deprez “L’illégitime”, à paraître en mai 2012 chez Naïve/livre d’heures, coll. dirigée par Jean Rouaud.
A propos de "L'invention du désir" sur Lacauselitteraire.fr
Avec une retenue, une pudeur qui n’empêchent pas la sensualité ni la passion qui se déverse brutalement, Carole Zalberg tisse les fils d’une histoire du XXIème siècle qui se place hors du temps. La prose est fraîche et poétique, distinguée, douce. Les mots sont mis sur des sensations, des émotions qu’on pensait impossibles à transcrire dans un texte. Et qui ne les dénaturent pas pour autant, au contraire.
Texte de présentation de la soirée premiers romans à la SGDL
En attendant la vidéo… Pierrette Fleutiaux : Carole ? L’un de tes fils a-t-il déjà dû remplir un arbre généalogique pour sa maîtresse à l’école ? Carole Zalberg : Non, mais si j’avais dû le faire, j’aurais sûrement eu autant de surprises et rencontré autant d’écueils que la narratrice du roman de Sylvie Tanette, Amalia… Poursuivre la lecture Texte de présentation de la soirée premiers romans à la SGDL
A propos de "L'ampleur du saccage", de Kaoutar Harchi
Autour de ce motif du saccage mainte fois perpétré, Kaoutar Harchi déploie un enchevêtrement de destins coupables mais conscients, en quête d’une rédemption peut-être impossible. Le dispositif est celui de la tragédie, le ton un lyrisme assumé et vibrant, l’atmosphère grave et étouffante mais traversée de moments d’amour : celui des fils pour leur mère même folle, même salie ; celui de Riddah et Si Larbi soudés par le secret ; celui des pères empêchés pour les fils qu’ils se sont choisis.