Le roman repose entièrement sur ce paradoxe, en déploie toutes les ramifications : c’est en s’enfermant que la jeune fille refuse les contraintes de son siècle, de sa lignée et se libère, c’est en entrant dans la tombe, et donc en quittant le vivant, qu’elle y accède, le ressent, l’invente jusqu’à la vérité.