Nathalie Kuperman à propos d'Et qu'on m'emporte

Cette histoire absolument terrible m’a fait frissonner du début à la fin, peut-être parce qu’elle touche en nous des points si cruciaux, la peur, toujours, de ne pas assez aimer, la peur de perdre l’autre avant d’avoir dit ce qu’on avait à dire, car les mots d’amour mille fois répétés soulignent leur propre insuffisance. Bref,… Poursuivre la lecture Nathalie Kuperman à propos d'Et qu'on m'emporte

Eric Slabiak à propos d'Et qu'on m'emporte

Je termine à l’instant Et qu’on m’emporte. Je suis chamboulé, c’est un chant bouleversant de douleur et de raison. Je ne sors pas indemne de cette lecture, encore moins qu’avec La  mère horizontale. J’ai l’impression d’une réhabilitation de l’humanité défectueuse. Une  bienveillance intelligente à l’égard de l’animalité qui est en nous.  Tu dévisses l’appareil à… Poursuivre la lecture Eric Slabiak à propos d'Et qu'on m'emporte

Amélie Nothomb à propos d'Et qu'on m'emporte

Belle surprise dans mon courrier , cette lettre d’Amélie Nothomb qui était partie en vacances avec les épreuves de mon roman paru le 4 février… Chère Carole, J’ai lu ton livre avec une émotion profonde. Ensuite, j’y ai beaucoup pensé. Hier, dans une illumination, il m’est apparu que tu avais écrit le roman de Clytemnestre.… Poursuivre la lecture Amélie Nothomb à propos d'Et qu'on m'emporte

Anne-Laure Bovéron à propos d'Et qu'on m'emporte

Dans cet audacieux deuxième volet de sa trilogie des « Tombeaux » intitulé « Et qu’on m’emporte », Carole Zalberg donne la parole à une mère qui ne l’a jamais vraiment été. Elle explore sous un nouvel angle la maternité, les liens mère – fille, les héritages générationnels. Un roman singulier, emporté et touchant, aux allures de tragédie grecque. Et en lice pour le Prix des Lilas 2009…

Amélie Rouher à propos d'Et qu'on m'emporte et de La Mère Horizontale

Requiem pour les Reines Les mères sont des phares. Les mères sont des temples. Les mères sont des idoles de pierre et des marbres en sang. N’est-ce pas la marotte de l’art et de l’imaginaire collectif de stocker ses mères debout ? C’est surtout le chiqué et l’Alpha chrétien que de les aimer dressées dans… Poursuivre la lecture Amélie Rouher à propos d'Et qu'on m'emporte et de La Mère Horizontale