Eric Slabiak à propos d'Et qu'on m'emporte

Je termine à l’instant Et qu’on m’emporte. Je suis chamboulé, c’est un chant bouleversant de douleur et de raison. Je ne sors pas indemne de cette lecture, encore moins qu’avec La  mère horizontale. J’ai l’impression d’une réhabilitation de l’humanité défectueuse. Une  bienveillance intelligente à l’égard de l’animalité qui est en nous.  Tu dévisses l’appareil à… Poursuivre la lecture Eric Slabiak à propos d'Et qu'on m'emporte