“(…) Un désespoir absolu semé de violence, exprimé sans un mot de trop, à travers une écriture dépouillée qui n’édulcore ni ne masque, condense à l’extrême pour dire au plus juste et laisser le lecteur dans un état de choc, sans distance possible pour échapper, ne serait-ce que le temps d’une phrase, d’un paragraphe, à la brutalité des faits. Non, il est happé par la peine de l’homme, sa résignation, intimement bouleversé, comme anéanti. Affaibli par le désespoir du récit mais fortifié par sa beauté littéraire.”
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