“Un livre d’une tension extrême sur l’incapacité d’être mère”, par Jean-Guy Soumy Père, mère, “mauvais”… Le thème du “mauvais” père, de la “mauvaise” mère, traverse la littérature. Deux livres récents abordent frontalement ce sujet. Leurs auteurs sont des femmes et ce n’est pas indifférent. Jean-Guy Soumy (…) Carole Zalberg dans “Et qu’on m’emporte“, donne, quant… Poursuivre la lecture A propos d'Et qu'on m'emporte dans le Populaire du Centre
Étiquette : Presse
Dossier Carole Zalberg dans Le Magazine des Livres
Critiques de presse
Véronique Ovaldé à propos d'Et qu'on m'emporte
Dans la série des “mails qui font du bien”… … celui-ci, reçu de Véronique Ovaldé (auteur, entre autres, du formidable Mon cœur transparent), et que je reproduis ici avec son autorisation : “J’ai lu ton magnifique Et qu’on m’emporte. Ce livre, comme tu l’auras deviné, m’a énormément plu. Il est puissant, violent, incarné. Le passage… Poursuivre la lecture Véronique Ovaldé à propos d'Et qu'on m'emporte
Dans L'est-éclair à propos d'Et qu'on m'emporte
Paru le 15/02/2009 dans L’est-éclair ” Je ne sais trop quoi faire de l’idée qu’à coup sûr elle va me survivre . je t’ai survécu. je n’ignore rien de l’horreur que c’est. Même pour moi, qui me figurais ne plus t’aimer, ne plus du tout tenir à toi. J’avais parfaitement vécu sans toi toutes ces… Poursuivre la lecture Dans L'est-éclair à propos d'Et qu'on m'emporte
Dans L'Appel, à propos de La Mère Horizontale
Dans L’Appel (Belgique) le 1er février 2009 Etre Mère “Elles ne m’ont pas emportée dans leur tombe. Ni ma mère, ni la mère de ma mère. Je suis vivante, je me tiens debout et j’avance droit… Dans mon ventre une vie bat. la naissance de cet enfant, ce sera un pied de nez aux mortes… Poursuivre la lecture Dans L'Appel, à propos de La Mère Horizontale
Nathalie Kuperman à propos d'Et qu'on m'emporte
Cette histoire absolument terrible m’a fait frissonner du début à la fin, peut-être parce qu’elle touche en nous des points si cruciaux, la peur, toujours, de ne pas assez aimer, la peur de perdre l’autre avant d’avoir dit ce qu’on avait à dire, car les mots d’amour mille fois répétés soulignent leur propre insuffisance. Bref,… Poursuivre la lecture Nathalie Kuperman à propos d'Et qu'on m'emporte
Eric Slabiak à propos d'Et qu'on m'emporte
Je termine à l’instant Et qu’on m’emporte. Je suis chamboulé, c’est un chant bouleversant de douleur et de raison. Je ne sors pas indemne de cette lecture, encore moins qu’avec La mère horizontale. J’ai l’impression d’une réhabilitation de l’humanité défectueuse. Une bienveillance intelligente à l’égard de l’animalité qui est en nous. Tu dévisses l’appareil à… Poursuivre la lecture Eric Slabiak à propos d'Et qu'on m'emporte
A propos d'Et qu'on m'emporte dans Metro (Belgique)
Dans Métro (Belgique)
A propos d'Et qu'on m'emporte dans La Dernière heure
Dans La Dernière Heure (Belgique) Par Didier Debroux et Isabelle Monnart
Anne-Laure Bovéron à propos d'Et qu'on m'emporte
Dans cet audacieux deuxième volet de sa trilogie des « Tombeaux » intitulé « Et qu’on m’emporte », Carole Zalberg donne la parole à une mère qui ne l’a jamais vraiment été. Elle explore sous un nouvel angle la maternité, les liens mère – fille, les héritages générationnels. Un roman singulier, emporté et touchant, aux allures de tragédie grecque. Et en lice pour le Prix des Lilas 2009…