Carole Zalberg écrit bien, trop bien peut-être, mais peut-on réellement l’en blâmer tant la beauté du verbe et l’élégance stylistique semblent être les derniers remparts littéraires et artistiques contre l’Horreur avec un grand H, comme Holocauste.
Carole Zalberg écrit bien, trop bien peut-être, mais peut-on réellement l’en blâmer tant la beauté du verbe et l’élégance stylistique semblent être les derniers remparts littéraires et artistiques contre l’Horreur avec un grand H, comme Holocauste.