“(…) En fermant le livre Je dansais, le lecteur est saisi par la virulence de la dénonciation de l’attitude d’hommes qui s’autorisent à utiliser la femme comme un simple accessoire d’assouvissement de leurs pulsions, ou de leur besoin d’asservir par simple passion pour le profit. Faut-il écrire l’horreur pour mieux la dénoncer ? La vision très sombre et très noire du monde que nous dévoile ce roman, nous contraindrait-elle à nous résigner à la défaite de l’humain ? Rien n’est moins sûr car en filigrane, l’auteur nous ouvre des pistes fragiles vers une liberté possible.(…)”
Lire la chronique complète de Pierrette Epsztein là.