A propos d'Et qu'on m'emporte dans le Populaire du Centre

“Un livre d’une tension extrême sur l’incapacité d’être mère”, par Jean-Guy Soumy Père, mère, “mauvais”… Le thème du “mauvais” père, de la “mauvaise” mère, traverse la littérature. Deux livres récents abordent frontalement ce sujet. Leurs auteurs sont des femmes et ce n’est pas indifférent. Jean-Guy Soumy (…) Carole Zalberg dans “Et qu’on m’emporte“, donne, quant… Poursuivre la lecture A propos d'Et qu'on m'emporte dans le Populaire du Centre

Des réactions de lecteurs à Et qu'on m'emporte

Les dernières réactions de lecteurs A propos d’Et qu’on m’emporte J’ai fini ton livre hier soir, quelle force, quelle musicalité ce monologue! Quelle tension aussi dans cette épure qui accède au plus profond, au plus douloureux, l’indicible, comme seuls les authentiques écrivains ou les comédiens l’éprouvent, l’expriment, eux dont c’est le rude job de franchir… Poursuivre la lecture Des réactions de lecteurs à Et qu'on m'emporte

Arnaud Huber à propos d'Et qu'on m'emporte

Quoique me risquant depuis quelques temps à tutoyer la vocation d’auteur, je reste un simple lecteur. Pas un grand lecteur. Je lis peu, car très lentement. Mais un lecteur que les mots, les beaux, les forts, les purs, emportent aisément. C’est ce qu’il m’est arrivé à la lecture du dernier, beau, fort et pur, roman… Poursuivre la lecture Arnaud Huber à propos d'Et qu'on m'emporte

Véronique Ovaldé à propos d'Et qu'on m'emporte

Dans la série des “mails qui font du bien”… … celui-ci, reçu de Véronique Ovaldé (auteur, entre autres, du formidable Mon cœur transparent), et que je reproduis ici avec son autorisation : “J’ai lu ton magnifique Et qu’on m’emporte. Ce livre, comme tu l’auras deviné, m’a énormément plu. Il est puissant, violent, incarné. Le passage… Poursuivre la lecture Véronique Ovaldé à propos d'Et qu'on m'emporte

Dans L'est-éclair à propos d'Et qu'on m'emporte

Paru le 15/02/2009 dans L’est-éclair ” Je ne sais trop quoi faire de l’idée qu’à coup sûr elle va me survivre . je t’ai survécu. je n’ignore rien de l’horreur que c’est. Même pour moi, qui me figurais ne plus t’aimer, ne plus du tout tenir à toi. J’avais parfaitement vécu sans toi toutes ces… Poursuivre la lecture Dans L'est-éclair à propos d'Et qu'on m'emporte